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Phnom Penh, la ville des expats'... et des couples louches

(du 9 au 12 janvier 2015)

 

 

Ce qui nous a frappé à l'arrivée dans cette ville, c'est le nombre d'expats, dont beaucoup en couple avec des khmères bien plus jeunes qu'eux. Et même si souvent il doit s'agir de vrais couples, y'en a qui sentent quand même la prostitution à plein nez ! D'ailleurs certaines rues sont bordées de bars à p..., et quelquefois des jeunes khmères vous abordent pour vous proposer un massage avec les seins qui débordent... on se demande comment finit le massage...

 

Un petit dessin pour illustrer ça

Sinon, les tuiles commencent ! A Phnom Penh, nous avons passé la majeure partie de notre temps non pas à visiter mais à faire les magasins…. en quête d’un nouvel appareil photo suite au vol du nôtre !

 

Du coup on a eu droit à une petite visite du commissariat, assez épique : pour y aller, un flic sans casque nous a fait grimper tous les 2 sur sa moto (sans casque non plus évidemment), effet garanti parmi les passants ! Et au bureau, c’est un gamin du coin de la rue qui nous sert d’interprète pour la déclaration ! Enfin bon ça s’est bien passé, d’autant plus que le flic en question ne nous a même pas demandé de fric alors que tout le monde nous disait qu’un dépôt de plainte allait nous coûter dans les 10-20$...

 

Sinon côté voyage, on est quand même passé par les spots d’intérêt (assez réduits en nombre mais la ville est plaisante pour se balader si on arrive à faire abstractions des détritus et des scoots).

 

Le palais royal avec sa fameuse pagode d’argent (et un avant-goût d’Angkor avec une maquette d’Angkor Vat). On vous fait au passage profiter des touristes asiatiques qui entretiennent le culte du gros appareil photo (et 2 c’est même mieux !)

Le monument de l’indépendance

Le musée national (celui-là on s’est contenté de regarder sa façade vu le portrait peu flatteur que d’autres voyageurs nous en ont dressé !)

On est aussi passé par le musée Tuol Sleng, qui est ni plus ni moins que la prison de haute sécurité S-21 utilisée par les Khmers rouges comme centre de torture laissée en l’état depuis leur chute (7 survivants sur plus de 17 000 incarcérations !). Visite éprouvante s’il en est, mais très intéressante.

 

 

Et comme on n’a pas été faire un tour dans la forêt à Chi Phat, on décide d’aller dans le Mondulkiri ensuite pour se faire un trek : départ demain !

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